Antony Blinken : Criminel de guerre et complice du génocide palestinien

Vos récentes déclarations dans l’interview accordée au New York Times sont une évidence flagrante de votre complicité dans le génocide contre les Palestiniens (1). Vous affirmez ne pas craindre d’être perçu comme soutenant un génocide, mais vos actions et vos paroles révèlent une indifférence glaçante face à la souffrance de nombreuses vies innocentes à Gaza. Sous votre direction, le département d’État est devenu un complice des crimes de guerre, soutenant l’assaut brutal d’Israël sur Gaza, qui a entraîné des pertes massives parmi les civils. Votre défense de ce massacre comme une « défense justifiée » n’est pas seulement infondée, mais également empreinte d’hypocrisie et de faillite morale.

Vous suivez les traces de criminels de guerre précédents de Henry Kissinger à Madeleine Albright, qui ont également justifié leur rôle dans des atrocités avec un cynisme similaire. Comme eux, vous avez choisi de vous tenir du mauvais côté de l’histoire, soutenant un régime d’apartheid qui perpétue la violence et l’oppression contre les Palestiniens. Le monde voit clair dans vos préoccupations creuses pour les droits humains. Votre engagement indéfectible à défendre les actions d’Israël, malgré les preuves accablantes de génocide présentées par de nombreuses organisations de droits humains, révèle votre véritable nature en tant que complice de ces crimes odieux. Vos mains sont tachées du sang des Palestiniens innocents, et l’histoire se souviendra de vous comme du criminel de guerre que vous êtes.

Il est temps que vous soyez tenu responsable de votre rôle dans ce génocide et que vous fassiez face aux conséquences de vos actions. Honte à vous, Antony Blinken, pour votre complicité dans la destruction des vies palestiniennes et la perpétuation de leur souffrance. Votre héritage sera celui de l’infamie, terni à jamais par votre soutien aux crimes de guerre et au génocide contre le peuple palestinien.

Antony Blinken, votre supervision personnelle de l’aide militaire fournée à l’entité sioniste par les États-Unis, y compris les bombes anti-bunker utilisées contre les civils, vous rend directement responsable des atrocités commises contre les Palestiniens. Votre soutien délibéré aux criminels sionistes pour affamer les Palestiniens révèle davantage vos véritables allégeances. Vous vous êtes montré plus proche du secrétaire d’État d’Israël que de celui des États-Unis. Vos actions démontrent une prioritisation claire des intérêts israéliens sur les valeurs américaines et les droits humains. Votre héritage sera à jamais entaché par votre rôle actif dans la facilitation du génocide des Palestiniens.

L’histoire se souviendra de vous comme du criminel de guerre qui a soutenu et facilité la destruction de vies innocentes. Malgré la rhétorique de liberté, de démocratie et de justice que les États-Unis proclament, votre leadership reflète une trahison flagrante de ces idéaux. Vous avez transformé le département d’État en un outil de perpétuation de l’impérialisme et de l’apartheid, l’utilisant pour écraser les aspirations d’un peuple aspirant à la liberté. Vos actions sont un rappel brutal que le pouvoir, lorsqu’il est incontrôlé, engendre l’impunité et la destruction.

Les atrocités à Gaza seront gravées dans la mémoire collective de l’humanité, et votre rôle dans ce chapitre sombre ne peut être effacé. Les enfants ensevelis sous les décombres, les familles déchirées et les communautés anéanties—voilà votre héritage. Vous avez choisi de vous tenir aux côtés des oppresseurs, de protéger les auteurs de crimes indicibles et de rationaliser l’indéfendable. Aucune rhétorique diplomatique ni aucun discours publicitaire ne peut cacher la vérité : vous êtes complice de génocide.

Le sang de Gaza crie justice, et le monde observe. Alors que de plus en plus de voix s’élèvent contre le massacre des Palestiniens, votre complicité devient de plus en plus indéniable. Ce n’est pas seulement une tache sur votre mandat, mais une accusation morale qui vous hantera longtemps après que vous ayez quitté vos fonctions. Votre nom sera retenu non pas pour la diplomatie ou le leadership, mais pour avoir aidé et encouragé l’annihilation systématique d’un peuple.

Honte à vous pour avoir fermé les yeux sur la souffrance et pour avoir choisi le pouvoir plutôt que l’humanité. Le peuple palestinien perdurera, sa résilience étant le témoignage de son esprit indomptable. Mais vous, Antony Blinken, serez retenu pour ce que vous êtes : un criminel de guerre dont les actions ont alimenté le génocide et trahi les principes que vous prétendez défendre. La justice prévaudra, et votre place dans l’histoire sera celle de la honte.

Khaled Boulaziz

(1) . https://www.nytimes.com/2025/01/04/magazine/antony-blinken-interview.html