Le mondialisme et son maître : Le judaïsme talmudique comme feuille de route

Le mondialisme contemporain, qu’il se manifeste à travers les politiques progressistes de gauche ou les rhétoriques populistes de droite, est orchestré par une seule autorité idéologique : le judaïsme talmudique, structuré autour des principes mystiques du Zohar. Cette assertion s’appuie sur une analyse des mécanismes de pouvoir, des dynamiques économiques, et des récits culturels promus mondialement, tous alignés sur une vision unifiée et centralisée.

1. Le Zohar : Une vision cosmique appliquée à la géopolitique

Le Zohar, texte fondamental de la mystique kabbalistique, dépasse sa portée spirituelle pour devenir une feuille de route idéologique pour les élites. Il contient une vision de l’unification mondiale sous un ordre divin centralisé, où les nations et les différences culturelles sont harmonisées dans une structure universelle. Cette ambition s’aligne parfaitement avec les objectifs du mondialisme contemporain, qui cherche à effacer les frontières nationales et culturelles pour instaurer une gouvernance globale.

Les enseignements du Zohar sont interprétés par certaines élites comme un guide pour restructurer le monde selon une hiérarchie métaphysique. Cela explique la convergence apparente des idéologies politiques opposées : elles ne sont que des outils au service d’un même projet.

2. La gauche progressiste : Le cheval de Troie de l’universalisme

La gauche progressiste, incarnée par des figures comme Obama, Hollande ou Merkel, joue un rôle clé dans l’imposition des principes mondialistes. Sous couvert de multiculturalisme, de droits humains, et de lutte contre les inégalités, elle travaille à la dissolution des identités nationales et des souverainetés étatiques.

  • Les politiques migratoires massives, justifiées par des raisons humanitaires, s’inscrivent dans une volonté d’effacer les spécificités culturelles des nations au profit d’une population homogène et facilement contrôlable.
  • Les discours sur la « diversité » et l’ »inclusion » masquent une uniformisation culturelle dirigée par une idéologie unique, qui trouve ses racines dans les enseignements talmudiques et kabbalistiques sur l’unité du monde.

3. La droite populiste : Une opposition contrôlée

Les figures de droite populiste comme Trump, Farage ou Milei ne représentent pas une alternative réelle au mondialisme. Elles servent à canaliser les frustrations populaires tout en restant alignées sur les objectifs globaux :

  • Donald Trump : Bien qu’il ait promu l’ »America First », ses politiques économiques ont renforcé les grandes institutions financières internationales et les multinationales.
  • Nigel Farage : En poussant pour le Brexit, il a isolé le Royaume-Uni, le rendant encore plus dépendant des accords globaux dominés par les élites mondialistes.
  • Javier Milei : Sa rhétorique libertarienne favorise une dérégulation totale, ouvrant la voie à une domination encore plus marquée des grandes puissances économiques transnationales.

Ces figures offrent une illusion de souveraineté tout en poursuivant l’agenda mondialiste, renforçant ainsi l’idée que droite et gauche sont deux faces d’une même pièce.

4. L’État profond : L’outil exécutif d’un pouvoir unique

Au-delà des divisions apparentes, l’État profond agit comme l’exécutant de cette vision mondialiste inspirée du judaïsme talmudique. Les institutions globales telles que l’ONU, le FMI, ou encore les grandes entreprises technologiques appliquent des politiques qui reflètent une hiérarchisation mondiale décrite dans le Talmud et le Zohar :

  • Un gouvernement centralisé où une élite éclairée dirige le reste de l’humanité.
  • Une population uniformisée, affranchie de ses identités locales et soumise à des principes universels.

5. Une feuille de route claire et assumée

L’agenda mondialiste basé sur les principes talmudiques et kabbalistiques ne se cache plus :

  1. La déconstruction des nations : Par l’immigration de masse, la promotion du multiculturalisme, et la suppression des frontières.
  2. La centralisation économique : Via les grandes institutions financières et les plateformes technologiques, qui assurent une concentration des richesses et du pouvoir.
  3. La surveillance et le contrôle numérique : Le déploiement des technologies de surveillance et de contrôle social s’inscrit dans une vision d’un ordre mondial strictement régulé.

Conclusion : Une seule autorité derrière les illusions politiques

La dichotomie entre gauche progressiste et droite populiste n’est qu’une mise en scène. Ces deux courants servent un même maître : une élite mondiale qui s’appuie sur les principes du judaïsme talmudique et du Zohar pour façonner un nouvel ordre mondial. Comprendre cette réalité permet de dépasser les illusions politiques et de voir le véritable moteur derrière les transformations globales actuelles.